Rémunération
Augmentations Générales
La CGT demande une Augmentation Générale minimale égale à l’inflation depuis 3 ans pour tous les salariés, (inflation cumulée de 13.11%).
La CGT rappelle que l’inflation n’a été couverte en 2023 que pour 43% de l’effectif.
Il est demandé un effort supplémentaire au-delà du budget d’Augmentations Générales afin de favoriser en premier lieu les salaires les plus bas c’est-à-dire un minimum de 200€.
La CGT rappelle que les Augmentations Générales doivent permettent de garantir un maintien du pouvoir d’achat des salariés.
Augmentations Individuelles
La CGT revendique l’utilisation des Augmentations Individuelles comme mécanisme principal de récompense du salarié pour le travail effectué en plus de lui offrir des perspectives d’avenir au sein de la société.
A ce titre, la CGT demande un budget d’AI minimum de 4% de la masse salariale.
Dates de distribution
Nous demandons des dates d’application des Augmentations Générales en Janvier et Augmentations Individuelles en Juillet.
Revalorisations
Le budget de revalorisations salariales (égalité, rattrapage de salaires, …) ne doit pas être inclus dans le budget des AI et AG déterminé dans le cadre des NAO.
PIVA
La CGT demande une ré-harmonisation de sa distribution.
BSC
Payer les BSC au prorata temporis du temps passé en entreprise
Prime Vacances
La CGT revendique une prime vacances calculée selon le calcul légal (Syntec) avec une valeur minimale égale à 20% du PMSS.
Temps de travail
CET
La CGT revendique la création d’un CET de Flexibilité dont la limite d’alimentation serait plafonnée à 7 jours par an. Le cumul de jours sur le CET n’est pas plafonné.
Pour la pose de congés depuis ce CET, il n’y aurait pas de mécanisme de plafonnement des jours disponibles.
Jour de solidarité
La CGT revendique que la journée de solidarité soit chômée.
Temps partiel
Utiliser le salaire réel versé comme base de calcul des tranches salariales.
Les primes exceptionnellement versées au salarié ne sont pas soumises au prorata du temps partiel effectué.
Dans l’hypothèse où le salarié décide de surcotiser pour maintenir une cotisation plus élevée, l’employeur compense en surcotisant de manière équivalente.
Restauration
Valorisation de la participation employeur
A revaloriser en fonction des sites. Nous demandons surtout qu’une discussion se mette en place rapidement autour de ces sujets cantine, tickets restaurant, comment faire au mieux pour que tous les salariés puissent manger dans des conditions optimales selon leur site et leur condition de télétravailleur.
Revoir complètement le principe de la restauration.
Panier repas
Au 1er juillet 2022 elle était de 6,80, il est nécessaire de la passer à 7,30 pour suivre l’inflation
Parentalité
Allongement des congés paternité.
Les congés paternité doivent être allongés et correspondre dans leur durée aux congés maternités postnataux en vigueur.
Aide aux jeunes parents
La CGT demande à l’employeur de donner à ses salariés l’une des deux dispositions suivantes :
Crèche en entreprise
Création de crèche en entreprise pour les salariés parents travaillant sur site.
CESU
Une alternative à la crèche par la mise en place d’aides financières sous la forme de chèques CESU.
La CGT est en accord avec une politique différente selon les sites et préconise de demander aux salariés de se positionner sur chacun des sites sur la solution à retenir.
Transports en Commun
La CGT demande de s’aligner sur le service public avec une contribution à 75% de l’employeur pour la prise en charge des abonnements de titre de transports.
Rachat de trimestres pour la retraite
La CGT souhaite échanger autour de ce sujet dans le cadre de ces NAO
Mise en place des négociations
Nous demandons la reprise de la négociation sur le télétravail, le droit à la déconnexion, le PERCO, les moyens des IRP.
Nous souhaiterions également rouvrir l’accord sur la participation.
Télétravail
La CGT demande à minima un ticket restaurant pour chaque salarié par jour télétravaillé.
Les règles à appliquer pour la présence en entreprise seront à déterminer par site.
L’objectif est que le salariés bénéficie en partie des économies faites pas l’entreprise en diminuant les espaces bureaux, chauffage, …
Il serait bienvenu de rouvrir les négociations sur le sujet afin de trouver un accord.